Dérober la peau

La liberté trouvée de la forme des châssis et la mémoire d’une exposition Gorges de La Tour et de ses drapés structurés éveillèrent l’envie de jouer du rouge et de « la corde la plus tendue du baroque ». Dans les jeux de robe et de peau le châssis prend du relief et trace la limite des plis sous la toile tendue, tout comme ses extensions graphiques délimitent et intègrent le vide que laissent dans leurs mouvements ces petites danseuses, parentes de celle de Malévitch dans le pas de deux improbable qu’elle pourrait esquisser avec un moule malic.

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©[2018] Hubert Joubert de la Motte

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